This article traces the recurrence of certain “obstacles” in the work of Paul de Man. My analysis centers on de Man’s essays on Romanticism in order to locate what he describes as a “shift” from “historical reflection” to the “problematics of reading.” De Man’s renewed attempts to describe this shift—and to name the obstacle that occasions it—draw on the very same language he uses in his reading of romantic texts. Focusing on de Man’s reading of Baudelaire and Hölderlin, in particular, (...) I examine the obstacles de Man identifies within the work of these authors, as well as the ways these obstacles disappear and resurface in later essays. Although I maintain de Man never succeeds in actually naming this obstacle, his repeated attempts to confront it attest to the importance—perhaps even the necessity—of stumbling as a constitutive feature of his critical project. (shrink)

The development of modern programmable pacemaker-systems has led to a series of questions which until now have apparently not existed in the treatment of cardiac rhythm disturbances. These questions touch especially on the problem of whether the relation which usually exists between a diagnostic step and its therapeutic consequence, namely its therapeutic relevance, is abolished or at least changed.

This text was already published in German Quarterly, 1 April 2010. We thank Bruno Duarte for letting us know about its existence. Boris Previsic, Hölderlins Rhythmus : Ein Handbuch, Frankfurt/Main, Stroemfeld, 2008, 320 p. Following an inductive approach, rather than advancing a set of claims, the primary ambition of the present study is a practical one : to create a « handbook » for the rhythmical analysis of Hölderlin's poetry by describing rhythmical features of individual poems. The - Recensions.

Questions about the nature of the relationship between language and extralinguistic cognition are old, but only recently has a new view emerged that allows for the systematic investigation of claims about linguistic structure, based on how it is understood or utilized outside of the language system. Our paper represents a case study for this interaction in the domain of event semantics. We adopt a transparency thesis about the relationship between linguistic structure and extralinguistic cognition, investigating whether different lexico-syntactic structures can (...) differentially recruit the visual causal percept. A prominent analysis of causative verbs like move suggests reference to two distinct events and a causal relationship between them, whereas non-causative verbs like push do not so refer. In our study, we present English speakers with simple scenes that either do or do not support the perception of a causal link, and manipulate (between subjects) a one-sentence instruction for the evaluation of the scene. Preliminary results suggest that competent speakers of English are more likely to judge causative constructions than non-causative constructions as true of a scene where causal features are present in the scene. Implications for a new approach to the investigation of linguistic meanings and future directions are discussed. (shrink)

Nietzsche pousse tout au long de son oeuvre un cri contre la paresse, la médiocrité, le confort, la sécurité de l’acquis, et invite à se risquer à chaque instant dans le contact nu avec la vie — au risque de s’y brûler. Toute réticence pour lui est négation de la vie. Sauter dans le feu, pour devenir dieu ou mourir. — Il en est mort... -/- Pourtant lorqu’on lit ses mots, n’a-t-on pas l’impression qu’il était tout prêt de déchirer le (...) voile? -/- «J’ai découvert pour moi que la vieille humanité, la vieille animalité, oui même tous les temps primitifs et le passé de toute existence sensible, continuent à vivre en moi, à écrire, à aimer, à haïr, à conclure, – je me suis réveillé soudain au milieu de ce rêve, mais seulement pour avoir conscience que je rêvais tout à l’heure et qu’il faut que je continue à rêver, pour ne pas périr: tout comme il faut que le somnambule continue à rêver pour ne pas tomber. Q’est désormais pour moi l’“apparence”? Ce n’est certainement pas l’opposé d’un “être” quelconque – que puis-je énoncer de cet être, si ce n’est les attributs de son apparence? Ce n’est certes pas un masque inanimé que l’on pourrait mettre, et peut-être même enlever, à un X inconnu! L’apparence est pour moi la vie et l’action elle-même qui, dans son ironie de soi-même, va jusqu’à me faire sentir qu’il y a là apparence et feu follet et danse des elfes et rien de plus – que, parmi ces rêveurs, moi aussi, moi “qui cherche la connaissance”, je danse le pas de tout le monde, que le “connaissant” est un moyen pour prolonger la danse terrestre, et qu’en raison de cela il fait partie de ces maîtres de cérémonie de la vie et que la sublime conséquence et le lien de toutes les connaissances sont et seront peut-être le moyen suprême d’assurer l’universalité de la rêverie et l’entente de tous ces rêveurs entre eux et, par cela même, de faire durer le rêve.» Ibid, par. 54. -/- N'est-ce pas dire, avec des mots sortis du fond des tripes, qu'il a découvert que la vie n'est qu'un jeu qui se joue de toute conscience qui s'illusionne "être", mais qu'il a pourtant décidé d'adhérer à ce jeu, parce que s'en détacher, ce serait retomber sous le charme d'une nouvelle illusion, l'illusion de se croire "être" celui qui aurait percé le jeu à jour, alors qu'y adhérer, tout en le perçant à jour, c'est enfin être vivant? Incandescence Nietzsche a mis dans sa recherche une intensité hors du commun. Et une honnêteté totale aussi. Lorsqu'on apporte une telle intensité et une telle honnêteté, on amène nécessairement son propre être à son point d'incandescence. Ce point d'incandescence, c'est la porte du néant. Mais selon que l'on s'agrippe alors à soi ou que l'on s'abandonne à ce qui vient, on bascule dans la lumière de l'éveil ou dans l'angoisse de sa propre solitude. Nietzsche a fait face au néant, mais autant que j'en aie compris, il ne s'est pas abandonné; il a au contraire adopté la position héroïque de celui qui tient bon, qui fait face et campe sur sa propre force. Cette position met en jeu des force intérieures considérables, qui donnent une clarté puissante à la conscience, mais qui oblige du même coup celle-ci à se supporter elle-même, à bouts de bras, sans possibilité de lâcher, sous peine de s'écrouler. Cette intensité reposant entièrement sur soi donne un sentiment de vertige, et si on insiste dans cette voie, on peut vraiment avoir l'impression de devenir fou. Car on se retrouve écartelé entre deux choix également impossibles: la surenchère infinie de sa propre puissance et l'anéantissement. Il me semble que Nietzsche a été extrêmement loin dans cette voie, jusqu'à ce que le fil casse. Dans ce sens – je le répète, ce n'est là que ma compréhension des choses – je partage l'avis de Jean-Marie et mushotoku-nad, en disant que Nietzsche n'aurait pas connu l'éveil tel qu'on l'entend ici. Il est resté sur le pas de la porte, refusant farouchement le lâcher-prise salvateur – qu'il aurait pris pour un aveu de faiblesse –, refusant de dire ces mots: "Que Ta volonté soit faite!", les mots par lesquels tout se trouve accompli, persistant au contraire à braver la tempête plutôt que d'accorder à Cela toute-puissance sur lui-même. Eternel retour Lorsqu’on vit un moment d’une totale intensité, on sent bien qu’on touche l’essence de l’être. A partir d’une certaine intensité, on débouche sur quelque chose de substantiel, quelque chose qui EST, et donc qui nécessairement dépasse le petit moi. Simplement, dans un cas comme celui-ci, on reste convaincu qu’il s’agit d’un état d’exception. On a touché l’éveil, la réalité de l’être, mais on n’y est pas entré. Y entrer, c’est réaliser que ce moment que l’on vit comme un état d’exception a en fait toujours été là, que ce n’est véritablement pas un moment d’exception, mais notre vraie nature, la nature de ce qui EST, et que l’état d’exception c’est celui d’en être séparé parce qu’on s’identifie à une illusion. Tant qu’on n’a pas réalisé cela, on croira nécessairement que les seuls instants vrais de notre vie sont ces instants d’exception durant lesquels on communie à l’être, et que tout le reste est sans valeur. C’est dans ce sens que je comprends la théorie de l’éternel retour de Nietzsche, qui pour moi a toujours eu un caractère angoissant. Revivre éternellement le retour du même. Ou plus précisément, car c’est cela qu’entendait Nietzsche, revivre éternellement le retour de ces moments d’exception, ces seuls moments réels. Car du moment qu’on pense qu’eux seuls sont réels, qu’eux seuls sont enracinés dans l’être éternel, l’évidence s’impose que d’une part ils ne sauraient disparaître, et que d’autre part tout le reste ne saurait avoir d'existence réelle. Et donc que l'éternité est faite de ces moments d'exceptions, qu'elle est faite de l'éternel retour de ceux-ci. (shrink)

«La vérité éternelle essentielle n’est pas du tout en elle-même paradoxale, mais elle n’est telle que dans son rapport avec un sujet existant. -/- Expliquer le paradoxe signifierait alors saisir toujours plus profondément ce qu’est un paradoxe et que le paradoxe est le paradoxe. Ainsi Dieu est une représentation suprême qu’on ne peut expliquer par quelque chose d’autre, mais seulement par le fait qu’on s’approfondit soi-même dans cette représentation. -/- Objectivement, on accentue ce qui est dit; subjectivement, comment c’est dit. (...) Cette distinction vaut déjà en esthétique, où elle dit que ce qui est vérité peut, dans la bouche de celui-ci ou de celui-là, devenir mensonge. Objectivement, on ne s’informe que des déterminations de la pensée: subjectivement, que de son intériorité. A son somment, ce “comment” est la passion de l’infini, et la passion de l’infini est la vérité elle-même. -/- Une telle définition de la vérité est la suivante: l’incertitude objective appropriée fermement par l’intériorité la plus passionnée, voilà la vérité, la plus haute vérité qu’il y ait pour un sujet existant. Là où le chemin bifurque (où, on ne peut le dire objectivement, car c’est justement la subjectivité) le savoir objectif est suspendu. Objectivement on n’a donc que de l’incertitude, mais c’est justement par là que se tend la passion infinie de l’intériorité, et la vérité consiste précisément dans ce coup d’audace qui choisit l’incertitude objective avec la passion de l’infini.» -/- Ce que décrit Kierkegaard, n’est-ce pas philosopher et vraiment vivre, porter la tension jusqu’au point où on abandonne toute philosophie, où on prend le risque de sauter dans le vide, de transgresser l’ordre rassurant, n'étant plus porté que par la foi en l’infini (il ajoute plus loin: “Mais la définition ainsi donnée de la vérité est une transcription de celle de la foi. Sans risque, pas de foi.”)? -/- Pour ma part, je le comprend ainsi: la connaissance qui s'applique à un objet extérieur ne pourra jamais concerner que cet objet, et en aucun cas le sujet. Elle restera donc toujours une vérité partielle, inscrite dans la dualité sujet-objet. Pour qu'elle devienne vérité la plus haute, "vérité éternelle essentielle", comme l'appelle Kierkegaard, il faut que l'esprit connaissant demeure dans l'incertitude quant à l'objet de sa connaissance (qui en l'occurence ne peut être que Dieu), qu'il accepte donc de ne pas le saisir, mais qu'il s'approprie avec toute l'énergie possible de sa passion l'incertitude même qu'il ressent face à Lui. Lorsque le sujet demeure ainsi dans un état d’incertitude tout en saisissant sa propre incertitude avec toute l’énergie possible, il se trouve intensément présent, dans un état de pure présence qui lui confère une consistance qui est celle même de l’objet. Dans la dualité sujet-objet, l'objet est consistant, et le sujet inconsistant, raison pour laquelle le sujet a toujours besoin de s'appuyer sur l'objet. En effet, les seules choses consistantes dans ma conscience de sujet, ce sont les objets du monde, ma conscience elle-même demeurant résolument inconsistante. Mais si elle parvient à rester intensément présente face à l’objet sans rien vouloir d’autre qu’approfondir cette présence, elle acquiert alors la consistance propre à l'objet, elle se fond en lui, et se trouve ainsi propulsée hors de la dualité sujet-objet, dans la vérité éternelle essentielle. -/- Accepter de ne pas saisir la vérité, accepter de demeurer dans le brouillard, dans l’incertitude; mais le faire non pas passivement, mais avec toute la passion dont on est capable. Alors on devient intensément présent, tout en s'oubliant à la fois. C'est cela, l'éveil. (shrink)

21. yüzyılın üçüncü on yılının şafağında, insanlığın varlığı son derece tehlikeli hale geldi. Ormanlarımızı kesiyor, tatlı su akiferlerimizi tüketiyor ve hayati önem taşıyan topraklarımızı kaybediyoruz. Okyanuslarımızdaki yaşamı sıyırıp yerine yüz milyonlarca ton plastik atık koyuyoruz. Çevremizi toksik endüstriyel kimyasallarla dolduruyoruz. Kirliliğimiz, kıtalardaki yaşamın dokusunu parçalayan ısı dalgalarına, kuraklıklara ve vahşi yangınlara neden olan iklim değişikliğini tetikliyor. Ve dünyaya yeni nesiller getiriyoruz, onurlu bir varoluşun kaynaklarına erişmeye ihtiyaç duyan milyonlarca insan. Hayata yönelik tehditlerin kapsamı ve genişliği her geçen gün artmaktadır. Bu (...) sürdürülebilir bir kalkınma şekli değildir. -/- Hastalıklarımızın temel nedeni, yanlış bir düşünce tarzından kaynaklanır. Bu tam olarak ne anlama geliyor? bu, ruhsal doğamızı inkar ederken kendimizi esas olarak maddi varlıklar olarak düşündüğümüz anlamına gelir. Maddi varlıklar olarak var olduğumuzu ve başka bir şey olmadığını düşündüğümüz için öncelikle bedenlerimizi zararlardan korumaya ve maddi varlığımızı sürdürmeye önem veririz. Manevi doğamız, eğer hiç düşünülürse, fiziksel varlığımızın ikincil bir yönü olarak ele alınır - ciddiye alınmaması gereken bir şey. Bizim için önemli olan tek şey maddi dünyada ortaya çıkan fenomenlerdir - görülebilen, duyulabilen, dokunulabilen veya ölçülebilen şeyler, ancak duyularımızın bizi aldattığını biliyoruz, duyular beynin bir yapısıdır. . Gerçek bir dünya olarak kabul ettiğimiz şey bir yanılsamadır. Pozitivist ve materyalist düşüncenin tahakkümü mantıksızlığa ve yıkıma yol açar. -/- Peki bu yaklaşım bizi nereye götürdü? Bize bir mutluluk ve tatmin duygusu getirdi mi? Her günü neşeli bir işbirliği ruhu içinde, parlak umutlar ve mutlu beklentilerle dolu kalplerimizle yaşamak yerine, kendimizi diğerlerinden soyutladık ve onları rakip veya düşman olarak gördük. Düşüncelerimiz, sonsuz bir savaş, yoksulluk, açlık ve çevresel yıkım döngüsüne yol açan şüphe, korku ve açgözlülükle dolu. Yakında uyanmadıkça ve ruhsal doğamıza dikkat etmedikçe, Dünya'da insanlık için bir gelecek olmayacak. -/- Kelimeler hayattır. Kelimeler hafiftir. Kelimeler güçtür. Kelimeler enerjidir. Sözler gerçektir. Kelimeler canlandırabilir ve kelimeler de öldürebilir. Kelimeler umut verebilir veya bizi umutsuzluğa sürükleyebilir. İnsanlar barışı inşa etmek için kelimeleri, savaşmak için kelimeleri kullanırlar. Kelimeler kültürler, dinler ve milletler arasında duvarlar oluşturabilir. Ve kelimeler de köprüler kurabilir. Bir bireyin, bir ailenin, bir topluluğun, bir ülkenin ve gezegenimizin varlığı, konuştuğumuz kelimelerin gücüyle iyiye veya kötüye yönlendirilmektedir. Konuştuğumuz kelimeler bu dünyada olan her şeyden sorumludur. Bu nedenle, konuştuğumuz kelimelerden sorumlu olmalıyız. Gelecek nesiller adına, umarım her birimiz sadece parlak, ışık dolu sözler söylemek için elimizden gelen her şeyi yaparız, böylece bir gün torunlarımız ışıkla dolu bir dünyaya doğar. Kaybedecek vakit yok. Bu andan itibaren, umarım hepimiz kullandığımız kelimelere yakından bakar ve onları parlaklık ile doldurmak için sürekli çaba gösteririz. -/- Kimse bizim için hayatımızı değiştiremez. Kimse bizim için dünyayı değiştirmeyecek. Her birimizin, konuştuğumuz her kelimenin serbest bıraktığı olağanüstü, yaratıcı gücü tanımasının ve bilinçli olarak sadece şükran, teşvik ve iyi niyetle dolu kelimeleri konuşmanın zamanı geldi. Bu andan itibaren, kendimiz ve başkaları için sevgi ve bağışlama ile rezonansa giren kelimeleri seçelim. Sadece bir adım ileri gidersek bunu kesinlikle yapabiliriz. Her seferinde bir adım, her seferinde bir kelime, bilincimizdeki trajedi ve izolasyon tohumlarını söküp onları mutluluk ve uzlaşma dalgalarına dönüştürebiliriz. Kendimiz, Toprak Ana ve gelecek nesiller adına, insanlığın Dünya üzerindeki olumlu evrimine katkıda bulunan kelimeleri kullanalım. (shrink)

Alexis de Samos impute à des prostituées athéniennes accompagnatrices de Périclès l’installation d’un culte d’Aphrodite à Samos en 439 av. J.-C. Après analyse du passage et de son contexte, il est proposé qu’Alexis a écrit une œuvre nationaliste, partisane et critique de Périclès et d’Aspasie, et que le sanctuaire a été fondé, sans l’intervention de prostituées, après une victoire navale, en remerciement à Aphrodite, déesse de la navigation en mer.Alexis, the Prostitutes and Aphrodite in Samos. According to (...) Alexis of Samos, Athenian prostitutes founded a cult of Aphrodite in Samos in 439 BC. A reappraisal of the information and its context leads to the hypothesis that Alexis wrote his Samian Chronicles criticising Perikles and Aspasia, and, therefore, that prostitutes were not involved in founding the cult, which was established after a naval victory and in honor of Aphrodite, goddess of seafaring. (shrink)

À l'aube de la troisième décennie du XXIe siècle, l'existence de l'humanité est devenue hautement périlleuse. Nous abattons nos forêts, épuisons nos aquifères d'eau douce et perdons nos sols vitaux. Nous enlevons la vie de nos océans et la remplaçons par des centaines de millions de tonnes de déchets plastiques. Nous inondons notre environnement de produits chimiques industriels toxiques. Notre pollution est à l'origine du changement climatique qui provoque des vagues de chaleur, des sécheresses et des incendies de forêt qui (...) déchirent le tissu de la vie sur les continents. Et nous mettons au monde de nouvelles générations, des millions qui ont besoin d'accéder aux ressources d'une existence digne. La portée et l'ampleur des menaces à la vie augmentent jour après jour. Ce n'est pas un mode de développement durable. La cause profonde de nos maux provient d'une façon de penser erronée. Qu'est-ce que cela signifie exactement? cela signifie que nous nous considérons principalement comme des êtres matériels, tout en niant notre nature spirituelle. Parce quenous pensons que nous existons en tant qu'êtres matériels et rien de plus, nous accordons la importance à la protection de notre corps contre les dommages et à la prolongation de notre existence matérielle. Notre nature spirituelle, si elle est considérée du tout, est traitée comme un aspect secondaire de notre être physique, quelque chose à ne pas prendre au sérieux. Pour nous, les seules choses qui comptent sont les phénomènes qui apparaissent dans le monde matériel - des choses qui peuvent être vues, ou entendues, ou touchées, ou mesurées, mais nous savons que nos sens nous trompent, les sens sont une construction du cerveau . Ce que nous considérons comme un monde réel est une illusion. La domination de la pensée positiviste et matérialiste conduit à l'irrationalité et à la destruction. Mais où cette approche nous a-t-elle menés ? Cela nous a-t-il apporté un sentiment de bonheur et d'épanouissement ? Plutôt que de vivre chaque jour dans un esprit de coopération joyeuse, avec nos cœurs remplis d'espoir brillant et d'anticipation heureuse, nous avons isolé la -/- TRADUCTION 1 prépublication des Lettres académiques. nous démarquer des autres et les considérait comme des rivaux ou des ennemis. Nos pensées sont inondées de suspicion, de peur et de cupidité, conduisant à un cycle sans fin de guerre, de pauvreté, de famine et de destruction de l'environnement. À moins que nous ne nous réveillions bientôt et que nous ne prêtions attention à notre nature spirituelle, il n'y aura pas d'avenir pour l'humanité sur Terre. Les mots sont la vie. Les mots sont légers. Les mots sont le pouvoir. Les mots sont énergie. Les mots sont la vérité. Les mots peuvent animer et les mots peuvent aussi tuer. Les mots peuvent donner de l'espoir ou nous plonger dans le désespoir. Les gens utilisent des mots pour construire la paix et utilisent des mots pour faire la guerre. Les mots peuvent créer des murs entre les cultures, les religions et les nations. Et les mots peuvent aussi construire des ponts. L'existence d'un individu, d'une famille, d'une communauté, d'un pays et de notre planète est conduite au bien ou au mal par le pouvoir des mots que nous prononçons. Les mots que nous prononçons sont responsables de tout ce qui se passe dans ce monde. Nous devons donc être responsables des paroles que nous prononçons. Au nom des générations futures, j'espère que chacun de nous fera tout ce qui est en son pouvoir pour ne dire que des mots clairs et lumineux, afin qu'un jour, nos descendants naissent dans un monde rempli de lumière. Il n'y a pas de temps à perdre. À partir de ce moment précis, j'espère que nous examinerons tous de près les mots que nous avons utilisés et que nous ferons des efforts constants pour les remplir de luminosité. Personne ne changera nos vies à notre place. Personne ne changera le monde à notre place. Il est temps pour chacun de nous de reconnaître le pouvoir créatif prodigieux qui se dégage de chaque mot que nous prononçons et de ne prononcer consciemment que des mots remplis de gratitude, d'encouragement et de bonnes intentions. À partir de ce moment, choisissons des mots qui résonnent d'amour et de pardon pour nous-mêmes et pour les autres. Nous pouvons certainement le faire si nous ne faisons qu'un pas en avant. Un pas à la fois, un mot à la fois, nous pouvons déraciner les germes de la tragédie et de l'isolement dans notre conscience et les convertir en vagues de bonheur et de réconciliation. Pour nousmêmes, pour la Terre Mère et pour les générations futures, utilisons des mots qui contribuent à l'évolution positive de l'humanité sur Terre. (shrink)

Rationals and countable ordinals are important examples of structures with decidable monadic second-order theories. A chain is an expansion of a linear order by monadic predicates. We show that if the monadic second-order theory of a countable chain C is decidable then C has a non-trivial expansion with decidable monadic second-order theory.

The aim of this article is to explore some of the challenges of measuring Christian spiritual development across distinct traditions of Christian spirituality. This presses into questions of what might be universal and what might be particular when it comes to Christian spirituality in how it is understood and practiced. We address the feasibility of a general, ecumenical measure by hearing from representative voices of five traditions of Christian spirituality: African American spirituality, Anglican spirituality, Benedictine spirituality, Pentecostal spirituality, and Reformed (...) spirituality. After noting some of the distinctives of these traditions, we conclude with four strategies for navigating the unity and diversity of Christian spirituality in conceptualizing and measuring Christian formation. (shrink)

Nous avons etudie la pensee de Kant et de Fichte pendant l'annee 1793. En ce temps-la naissait un monde nouveau. Le 20 septembre 1792 se livre la celebre bataille de Valmy. Valmy, defaite de la monarchie du point de vue de la strategie, etait d'abord une defaite morale, la ruine d'un monde ethique. A Kant, le plus grand philosophe du XVIIIeme siecle, se posa la question: Qu'est-ce que la Revolution? A Fichte, encore inconnu, la meme question se posa. Leurs reponses (...) bien differentes symbolisent et expriment le sens de la transformation du monde qui s'effectua alors. Fichte se separa de Kant dans la pensee politique et ainsi, alors qu'un monde nouveau s'annoncait, une nouvelle philosophie prit naissance. Ainsi, si Fichte n'est pas le plus grand des philosophes modernes, il est le premier d'entre eux. S'attacher a sa pensee ce n'est pas seulement le comprendre; c'est aussi nous comprendre nous-memes. (shrink)

Par l'expression ile de la verite, Kant designe l'objet de la premiere partie de la logique transcendantale - la logique de la verite ou encore l'Analytique transcendantale. C'est celle-ci que l'on s'est propose de suivre ici. Les resultats ont, apres une etude de la Deduction transcendantale, permis de mieux saisir le principe de la grandeur intensive et surtout de renouveler l'approche de la chose en soi reliee a la methode qui n'est autre que le sujet transcendantal. Et la serie des (...) equivalences nous a conduit a mettre en lumiere les concepts limites de mort et de neant, si negliges par les interpretes. Cette lecture est une aventure qui mene beaucoup plus loin que les acquis de l'oeuvre de Kant. Elle suscitera, esperons-le, au moins des controverses. (shrink)

Ce volume est une contribution a l'ensemble des travaux consacres par l'auteur depuis de longues annees a la pensee transcendantale. Ces essais et etudes couvrent trois decennies - on peut constater l'influence grandissante de l'Ecole de Marbourg (Cohen, Natorp, Cassirer), qui a su reconnaitre le primat de l'idee de methode. Si les termes d'ontologie et de phenomenologie ont ete abandonnes dans la mesure du possible, c'est dans la mesure ou ils ont sombres dans la confusion et l'amalgame, et rendaient inconcevable (...) ce grand tournant dans la conscience europeenne que furent les doctrines de Kant et de Fichte. (shrink)

Enhancing synchronization among people when synchronization is lacking is believed to improve their social skills, learning processes, and proficiency in musical rhythmic development. Greater synchronization among people can be induced to improve the rhythmic interaction of a system with multiple dancing robots that dance to a drum beat. A series of experiments were conducted to examine the human–human synchrony between persons that participated in musical sessions with robots. In this study, we evaluated: (a) the effect of the number of robots (...) on a subject’s ability to synchronize with an experimenter; (b) the effect of the type of robot synchrony, namely, whether the robots did or did not represent the subject’s rhythm; (c) the effect of an in-sync and out-of-sync robot on a subject’s behavior. We found that: (a) three robots increased the level of synchronization between the subject and experimenter and their enjoyment level; (b) robots may induce greater synchronization between the subject and experimenter by reproducing the rhythms of not only the experimenter but also of the subject compared to when only the experimenter’s rhythms had been reproduced; (c) the robots in-sync had greater influence on the natural rhythm of the subject. (shrink)

Rompant avec la conception traditionnelle du corps comme pure et simple res extensa en interaction avec une âme seule à même de sentir et de vouloir, laphénoménologie (E. Husserl, M. Merleau-Ponty, J. Patoèka, M. Henry, R. Barbaras,...) en déploie une approche vécue, faisant de la chair (Leib, en allemand) le site même de notre rapport sensible et pratique aux étants. Une telle perspective court cependant le risque de ne voir en l'incarnation qu'une condition de possibilité de la manifestation du monde (...) - et donc de passer sous silence la phénoménalké de cette chair vivante elle-même. C'est dans ce contexte qu'une phénoménologie du corps en émoi s'avère indispensable : au contraire du corps percevant et du corps agissant, simples mediums transparents d'une conscience tout entière auprès des choses, le corps ému, en vertu des bouleversements mêmes qui le caractérisent (larmes, rougissements, sudation,...), recouvre une prégnance certaine, et s'impose comme instance propre. En bref : seule l'émotion est somatophanie, c'est-à-dire manifestation du corps en tant que corps. Le présent volume se donne pour dessein d'étudier les différents versants de cette manifestation. La première partie, comprenant les contributions de Thomas Fuchs, Natalie Depraz, et Gabriel Mahéo, développe une réinterprétation incarnée des émotions intersubjectives - et en particulier de leur dimension politique. Au cours de la seconde partie, Charles Bobant, Grégori Jean, et Gilles A. Tiberghien s'interrogent sur la fonction-du corps ému au sein des multiples artistiques et de leurs réceptions esthétiques. Enfin, la troisième partie, composée des travaux d'Alexis Delamare, d'Aurélien Deudon, et de Daniel Vespermann, propose une série d'explorations phénoménologiques particulières - étude de la joie et de la tristesse, de lajouimance amoureuse, et des affects atmosphériques"--Page 4 of cover. (shrink)

La langue morte est celle qui est complète. Dans la mesure où elle est complète, elle ne peut plus évoluer, et tout ce qui lui est extérieur dans l’horizon linguistique est le fruit d’une dérivation illogique (ce qui suppose que la dérivation est, du point de vue éthique, une chute originelle – et que, illogique, elle s’oppose au Logos). Il est bien évident que l’idée d’une langue morte est une Idée de la raison, plus proche du mythe que du concept (...) de symbole. La langue vivante est imparfaite, c’est-à-dire mal adaptée au réel – ce qui se marque par un abandon des flexions (flamand, hollandais) –, mais ouverte à la vie conquérante. Il s’agit donc d’un outil rugueux, mais efficace, qui nie les différences. Dans cette détermination, la langue est vivante en tant que moyen de communication par simplification des détails, si bien que le parler tend vers une fondation anthropologique du système linguistique. Cette dualité est-elle une antinomie au sens strict, ou une opposition psychologique? Et comment, en conséquence, organiser le système linguistique général? Les langues mortes pour les langues vivantes et inversement... (shrink)

" Dans ce livre on a eu le souci d'explorer la démarche expérimentale de Bergson. L'ordre suivi a été celui de ses grandes œuvres, l'Essai sur les données immédiates de la conscience, Matière et mémoire, L'Evolution créatrice, Les Deux Sources de la morale et de la religion. L'étude s'est développée suivant la logique bergsonienne comprise comme logique des significations, dont on peut dire métaphoriquement qu'elle respecte l'ordre de la stratégie militaire par exemple dans la position des problèmes, dans l'exploitation des (...) résultats, etc. Par là même s'est effrité pour enfin disparaître le thème du "bergsonisme" comme philosophie musicale et sentimentale. Ce qui frappera le lecteur, c'est l'énergie déployée par Bergson et sa rigueur dans l'examen des faits, comme l'aphasie ou encore la conscience de la liberté. A travers les thèmes bergsoniens on a été surpris de relever - outre les déclarations faites en clair - une opposition décidée et décisive par rapport à Kant, dont Bergson connaissait l'œuvre, d'après cette étude, avec une haute précision. Certaines thèses de Bergson ne se comprennent même que par leur opposition au criticisme. Ce livre a été rédigé dans le souci d'écarter toutes les prétendues contradictions de l'auteur de Matière et mémoire. Le présent exposé doit par lui-même faire justice de toutes les interprétations fondées sur des contradictions et au demeurant il reste vrai de dire avec Bergson que le temps passé à dénoncer des contradictions est en philosophie du temps perdu. On fera des rencontres inattendues dans ce livre. Non seulement Kant, mais aussi Tolstoï, qui semble avoir devancé Bergson. Ici se trace une voie d'interprétation : la pensée de Bergson peut être enrichie par des éclairages nouveaux et précis qui en définiront mieux la grande actualité. " Alexis Philonenko. (shrink)

L'œuvre de Chestov a [...] consisté dans l'exposé d'émotions, de projets, de discussions, d'écrits vivants dont la valeur critique était l'écume de l'échange des données du sens interne en général, le temps –?donc des idées de la communauté humaine?– et non des sensations. C'était presque déjà une logique du sens, mais pas du tout au sens de Deleuze ou au mien. La seule méthode susceptible de fécondité était la mise à jour des pensées des grands génies qu'on applaudit, mais auxquels (...) on ne passe rien. Par exemple Crime et châtiment de Dostoïevski est le discours de Chestov sur la liberté et la libération?: Chestov s'en va quérir parmi les grands esprits l'opinion vraie accompagnée de raison, si bien que l'étude de la pensée de Dostoïevski est l'étude de la pensée de Chestov et ainsi de suite. Il se forgeait ainsi une pensée en développant celle des autres avec une incroyable précision. Le présent travail est une reproduction critique des grands exposés de Chestov?: Tolstoï, Dostoïevski, et plus tard Nietzsche, Kierkegaard. On n'a donc pas envisagé, par exemple, de restituer toute l'œuvre de Dostoïevski, mais seulement les trois écrits sur la liberté et la libération et la doctrine du malheur –?Les souvenirs de la maison des morts, Crime et châtiment, le Soussol. (shrink)

Ce volume constitue le premier tome de la philosophie du malheur. On a choisi de mettre au fondement la reflexion de Leon Chestov qui se deployait dans l'analyse des grandes pensees, procurant ainsi a celle-ci une certaine ampleur historique. Le malheur de cette fin de siecle consiste en ce qu'oubliant la signification originaire de la philosophie, il se trouve que la reflexion metaphysique, etayee sur des piliers souvent mal definis, l'ontologie d'une part, la phenomenologie de l'autre, s'est bien souvent egaree (...) et qu'une meditation visant les choses morales semble obsolete. Il faut savoir regarder en arriere, relever de leur indignite les reflexions de Fichte, Kant, Luther et bien d'autres. C'est ce que tente ce premier volume sous la guidee de Chestov. (shrink)

La grande difficulté du spinozisme est à rechercher dans le langage. Il y a au moins partout deux langages, l'un philosophique que l'on emploie rarement, et l'autre propre à la langue vulgaire. Nous pourrissons le spéculatif par le vulgaire et nous rendons impie la langue commune par l'intrusion du spéculatif. Comment gouverner le démon du langage? Ce qu'il faut en tout premier lieu discerner, c'est la qualité intime qui confère au langage la possibilité de tromper. Si l'on songe, de plus, (...) que le langage est le lien indéfectible de la communauté humaine, on verra son étude se relier aux synthèses principielles de la politique saisie à l'intérieur de l'encyclopédie spinoziste. À cela s'ajoute la liaison à l'erreur. Un blasphème n'est pas seulement une faute, c'est aussi une erreur, et la théorie de l'erreur est la refondation du système spinoziste capable de chasser l'erreur de partout, et donc de l'Éthique tout entière. Spinoza, pas plus que Fichte, n'acceptera la disjonction du faire (Tun) et du dire (Sagen) –?la morale est enracinée dans la linguistique, et naturellement la théorie de la vérité conforte ces alliances. La bonne lecture doit passer de la langue à la parole comme a priori signifiant, à Dieu comme réflexion absolue, et aussi bien de la conscience d'obstacle comme immédiateté à la conscience de soi. J'obtiens donc une synthèse quintuple. La. Conscience de soi (1) détermine la conscience d'objet (2) et le silence humain (3) est déterminé pas le silence divin (4). La conscience philosophique et son discours occupe le centre (5), et d'étage en étage, on s'élève à la science comme éducation. (shrink)

«Η κβαντική θεωρία είναι ολοκληρωτικά ολιστική (ηolistisch ganzheitlich), αρνείται το τετελεσμένο των διαχωρισμών…Ο κόσμος δεν αποτελείται από αντικείμενα. Μόνο η πεπερασμένη γνώση του ανθρώπου κατακερματίζει σε αντικείμενα το Όλον – στο οποίο και ο ίδιος ανήκει – προκειμένου να κατατοπιστεί» -/- C.F.Von Weizsacker -/- Για την κβαντική θεωρία ο Κόσμος είναι ενιαίος και αδιαίρετος, όλα τα στοιχεία που τον συγκροτούν βρίσκονται σε σχέση αλληλεξάρτησης και αλληλοδιασύνδεσης. Η διασύνδεση των πάντων είναι ιδιαίτερα εμφανής στις μη-τοπικές αλληλεπιδράσεις του κβαντικού κόσμου. Το φαινόμενο (...) της κβαντικής συζευξιμότητας, το οποίο μπορεί να θεωρηθεί μια αρχή υπέρθεσης, καθώς και η απορρέουσα έννοια της κβαντομηχανικής μη διαχωρισιμότητας, ως εγγενές στοιχείο της κβαντικής θεωρίας, συνεπάγεται ότι η αδιαίρετη ενότητα του Όλου συνιστά θεμελιώδες γνώρισμα του κβαντικού κόσμου, όμως ούτε η θεωρία ούτε το πείραμα είναι δυνατόν να προσπελάσουν και να αποκαλύψουν τη δομή ή την υφή της Ολότητας. Η Ολότητα είναι ανεξάρτητη από την επιλογή ενός παρατηρητή ή τον προσδιορισμό ενός πειραματικού πλαισίου ή τη μετρητική συσκευή ή από τη δράση του υποκειμένου της γνώσης, της νόησης και των επιστημικών πρακτικών ή ενεργημάτων του. Η Ολότητα αφορά στην περιοχή των κβαντικών συζευγμένων συσχετίσεων, δυνητικοτήτων και κβαντικών υπερθέσεων, στοιχείων που διέπονται από μία μη-Μπούλειαν Λογική Δομή. -/- Θεμελιώδες χαρακτηριστικό της κβαντικής θεωρίας είναι ότι η επίτευξη οποιασδήποτε συνεπούς και έγκυρης εννοιολογικής περιγραφής ή η ικανότητα απόδοσης γνωρισμάτων και ιδιοτήτων σ΄ένα ‘’αντικείμενο’’ μέσω του γλωσσικού συμβολισμού ή η δυνατότητα αναφοράς σε πειραματικά προσπελάσιμα γεγονότα, προϋποθέτει ως αναγκαίο όρο την αποσυσχέτιση και τον διαχωρισμό της Ολότητας του Κόσμου, σε διακριτές οντότητες, οι οποίες αλληλεπιδρούν μεταξύ τους, δεν είναι όμως κβαντικώς συζευγμένες. Στην κβαντομηχανική καλώς ορισμένο αντικείμενο δημιουργείται μέσω μιας τομής Heisenberg, δηλαδή μέσω μιας διαδικασίας αφαίρεσης και προβολής της μη Μπούλειαν Ολιστικής περιοχής σε ένα Μπούλειαν πλαίσιο, το οποίο καθιστά αναγκαία την αποκοπή των κβαντικών συζευγμένων συσχετίσεων από το περιβάλλον του για να αποκτηθεί πρόσβαση στην εμπειρική πραγματικότητα και να συντελεσθεί η περιγραφή της μέτρησης. Δηλαδή η επίτευξη αιτιοκρατικών χωροχρονικών συσχετίσεων, η δυνατότητα χρονικών διασυνδέσεων μεταξύ πρότερου και ύστερου, αιτίας και αποτελέσματος και κατ΄ επέκταση η περιγραφή κάθε διυποκειμενικής εμπειρίας, προϋποθέτουν την διάκριση του Όλου σε γνωρίζον ‘’υποκείμενο’’ και ‘’αντικείμενο’’ προς εξέταση, σε παρατηρητή και παρατηρούμενο. Η κβαντική μηχανική αναγνωρίζει ότι ο παρατηρητής είναι καθεστωτικός παράγοντας στη συγκρότηση του παρατηρούμενου, οι παρατηρητές αρχίζουν σιγά-σιγά να αναγνωρίζουν πλέον τον προθεσιακό (intentional) χαρακτήρα απο τον οποίο διαποτίζεται η γνωσιοθεωρητική πρακτική. Οι παρατηρητές αποκτούν συνείδηση των δημιουργικών δυνατοτήτων τους και συνεπώς του κατασκευαστικού χαρακτήρα των πολλαπλών κόσμων τους, Σ΄αυτό το σημείο θα προβούμε σε αφαιρετικότερους στοχασμούς όσον αφορά την οντολογική φύση της κβαντικής θεωρίας. Η διάκριση του Όλου σε υποκείμενο και αντικείμενο εισάγει τις χωροχρονικές σχέσεις, την αιτιότητα, παράγει τον Λόγο, τη διάκριση θεωρίας και πράξης και εν τέλει το τεχνικο-επιστημονικό πνεύμα που υπολογίζει, μετρά, ποσοτικοποιεί τα μεγέθη και τα χειραγωγεί κατά βούληση. Όλα όσα παράγονται από τη διάκριση του Κόσμου σε Υποκείμενο και Αντικείμενο παράγουν την ανθρωποκεντρική θεώρηση-παράσταση του Κόσμου, τη μυθολογική διαμόρφωση της συνείδησης, τη φαινομενολογική ύπαρξη, την ύπαρξη τινός. Ο Κόσμος που αντιλαμβάνονται οι άνθρωποι συνιστά ένα απόσπασμα του Κόσμου, το Όλον διασπάται σε πολλαπλές προοπτικές (διαφορές φάσης της συνειδησιακής βίωσης του Χρόνου, δηλαδή διαφορές επίπεδων αντίληψης, συνείδησης και ψυχονοοτροπίας) που τον θεωρούν μέσω των εκάστοτε προοπτικών κάθε φορά και τις οποίες αναγορεύουν σε καθολικές προτάσεις και ύπατες αλήθειες ενώ δεν αποτελούν παρά πεπερασμένες διερευνήσεις του απεριόριστου Κόσμου, σχετικές προσεγγίσεις του Απόλυτου………. (shrink)

1 La ressemblance comme problème philosophique transversal Personne ne nierait que les chats se ressemblent sous un grand nombre de rapports, ni ne douterait du fait qu’ils ressemblent plus aux chiens qu’aux bactéries ou aux matchs de tennis. En réalité, il semble légitime de croire que c’est en vertu de cette similarité d’ensemble que nous pouvons dire que certains individus appartiennent à une même espèce, qu’ils sont tous des chats. Ces intuitions partagées suggèrent que la notion de resse...

This book begins with Derrida's text, based on a lecture he gave in Montreal and is followed by two texts commenting on it. Derrida gives one of his most precise developments on the notion of 'l'événement' (event), that which comes to disturb the course of history and thus escapes the normal ways of being told and understood. His thought on the topic is crucial for future research on literature as testimony, refering to abnormal conditions of experience whose nature exceeds usual (...) narrative norms. This work is on two components of European culture : French West Indian and Black British literature (memory of slavery) and Spanish literature (civil war and refugees camps). Ce volume prolonge les réflexions du séminaire tenu à Montréal, articulé autour de la question " Dire l'événement, est-ce possible ? ". Les contributions de Gad Soussana ("De l'événement depuis la nuit" suivi de "Arriver") et d'Alexis Nouss ("Parole sans voix") tentent d'en prendre la mesure à partir des problématiques de l'origine et du posthume. Mais l'essentiel, en elles, aura été de susciter la réponse de Jacques Derrida : " Une certaine possibilité impossible de dire l'événement ". Plus qu'une simple rencontre, ce séminaire explicite la présence d'une pensée de l'événement au cœur de l'œuvre littéraire et de l'œuvre philosophique. (shrink)

Le but de ce travail est d’examiner l’incidence philosophique de la gravitation quantique sur le concept de temps. Je cherche à montrer qu’elle conduit à une disparition du temps comme dimension et ouvre la voie à une compréhension du temps comme variation et même à l’idée de variation pure. En l’absence de temps mécanique, il est cependant possible de définir un temps d’origine thermodynamique. Je montre en quoi cette dissociation du temps mécanique et du temps thermodynamique, fait écho à l’ambivalence (...) — qui est au cœur de la physique comme de la philosophie — entre le devenir et le temps comme mesure du changement. Enfin, je suggère que la gravité quantique concourt à l’inversion de la définition aristotélicienne du temps. (shrink)

Vraagt onze samenleving om een nieuwe politieke formule, om met Alexis de Tocqueville (1805-1859) te spreken? Op het eerste gezicht niet. De democratie is stevig verankerd in de Grondwet en verdragen en is ingebed in de rechtsstaat, en zowel democratie als rechtsstaat maken deel uit van ons collectieve bewustzijn. Toch is er wat aan de hand in de verhouding tussen overheid, samenleving en individu, zoals de inmiddels structurele onvrede met het publieke domein laat zien. Dat vraagt om een richtinggevende (...) doordenking van de vooronderstellingen van ons democratisch bestel en de fundamenten waarop het berust. Dat is wat dit boek zich ten doel stelt. Het biedt toekomstgerichte ideeën voor ons publieke domein aan de hand van kernbegrippen als legitimiteit, staat, politiek, instituties, identiteit, burgerschap, kerk en theologie. Het gedachtegoed van Tocqueville, die geldt als een van de grootste en meest interessante denkers over de moderne democratie, de democratische samenleving en de democratische mens, vormt daarvoor de inspiratiebron. (shrink)

Être vu, nu, par un chat ; essayer de savoir quel effet cela fait d’être une chauve-souris ; penser les modes de cohabitation et de compagnonnage que nous formons avec les animaux, en dépit de toutes les violences que nous leur faisons subir, constituent autant d’expériences de pensée limites qui ont ponctué le discours philosophique sur l’animalité au xxe siècle. Il n’est pas étonnant que Cora Diamond fasse un cas de toutes ces expériences : ce qu’elle nomme « une difficulté (...) de la réalité », c’est-à-dire un point d’achoppement entre la pensée et ce qu’elle essaye de saisir, le réel, qui est susceptible de nous faire perdre nos concepts. Je me propose dans ce texte d’explorer les voies de cette difficulté, qui sont souvent des voies contournées ou des déviations. L’idée est aussi de réfléchir aux moyens dont la philosophie dispose pour affronter cette difficulté, sans dénégation et sans déviation. (shrink)

La philosophie exposée dans cet essai est fondée sur la triple affirmation suivante : le mécanisme est un langage de caractère structural ; le mécanisme est une théorie scientifique, celle de la Mécanique, mais étendu aux systèmes ouverts il est une théorie scientifique en un sens distendu, entretenu par l'effet des parallélismes idéologiques et du voisinage des sciences dans le contexte duquel il a commencé à prendre corps ; enfin, le mécanisme est une philosophie conçue comme un système scientifique. Les (...) difficultés de cette philosophie viennent de ce qu'elle prétend s'identifier aux procédures, aux données et aux résultats des sciences. Le crédit philosophique à faire à la philosophie mécaniciste réside dans son ambition à sauver l'unité de la science et à retrouver l'idée de nécessité. Pour les philosophies de la finitude, ce projet est illusoire. C'est dans une confrontation avec ces philosophies que, peut-être, le projet d'une philosophie mécaniciste soit perdra ses illusions, soit trouvera tout son sens. (shrink)

In lieu of an abstract, here is a brief excerpt of the content:Feminist Studies 44, no. 3. © 2018 by Feminist Studies, Inc. 699 Jennifer C. Nash The Political Life of Black Motherhood In 1976, Adrienne Rich wrote, “We know more about the air we breathe, the seas we travel, than about the nature and meaning of motherhood.”1 In the four decades since the publication of Rich’s now-canonical Of Woman Born, Andrea O’Reilly has argued for the advent of “maternal theory” (...) as an academic discipline, the maternal memoir has become a highly popular (and profitable) literary genre, and there has been sustained attention to maternal activism with scholarly analyses of such organizations as Mothers Against Drunk Driving and Mothers of the Movement.2 If Mamie Till Bradley boldly “let the world see” her son’s mutilated body in a 1955 public plea to make visible black suffering and antiblack violence, Valerie Castile’s statement after a jury found a police officer not guilty in the death of her son continued in the tradition of 1. Adrienne Rich, Of Woman Born: Motherhood as Experience and Institution (New York: W. W. Norton, 1995), 11. 2. See Andrea O’Reilly, ed., Maternal Theory: A Reader (New York: Demeter Press, 2007); Ann Hulbert, “The Real Myth of Motherhood,” Slate, March 8, 2005; Jennifer C. Nash and Samantha Pinto, “Strange Intimacies: Reading Black Mothering Memoirs,” Public Culture (forthcoming); Danielle Poe, Maternal Activism: Mothers Confronting Injustice (Albany: SUNY Press, 2016); and Ruth Feldstein, Motherhood in Black and White: Race and Sex in American Liberalism, 1930–1965 (Ithaca, NY: Cornell University Press, 2000). 700 Jennifer C. Nash Books Discussed in This Essay Revolutionary Mothering: Love on the Front Lines. Edited by Alexis Pauline Gumbs, China Martens, and Mai’a Williams. Oakland, CA: PM Press, 2016. Laboring Positions: Black Women, Mothering and the Academy. Edited by Sekile Nzinga-Johnson. Bradford, ON: Demeter Press, 2013. How All Politics Became Reproductive Politics: From Welfare Reform to Foreclosure to Trump. By Laura Briggs. Oakland: University of California Press, 2017. Birthing Justice: Black Women, Pregnancy, and Childbirth. Edited by Julia Oparah and Alicia Bonaparte. New York: Routledge, 2016. making black (male) pain visible through grief-stricken black motherhood. Castile said, My son loved this state. He had one tattoo on his body and it was of the twin cities, the state of Minnesota with “TC” on it. My son loved this city, and this city killed my son and the murderer gets away.... We’re not evolving as a civilization, we’re devolving, we have taken steps forward, people have died for us to have these rights and now we’re devolving, we’re going back to 1969.3 Her emotional plea reveals the political currency of black maternal suffering, one of the few spaces in which black pain is readily culturally visible. Indeed, there has been intensified scholarly and popular interest in representing black motherhood as both a site constituted by grief and expected loss and as a political position made visible (only) because of its proximity to death. It is certainly the case that a cultural inattention to motherhood has been replaced by an intense investment in representing at least some aspects of “the nature and meaning of motherhood” and 3. “Philando Castile’s Mother Reacts to Verdict,” Washington Post video on YouTube, posted on June 16, 2017, https://www.youtube.com/watch?v=RJsD4cCpUA. Jennifer C. Nash 701 in representing certain mothers—particularly black mothers—as symbols of trauma and injury, of pain that can be mobilized for “legitimate” political ends and social change. If, as O’Reilly suggests, maternal theory is now a distinct field, it has been fundamentally shaped by the intellectual and political labor of black feminists—Dorothy Roberts, bell hooks, Alice Walker, Patricia Hill Collins, Hortense Spillers, and Audre Lorde—who have captured the myriad ways that black maternity is cast as pathological, excessive, and marked by aberrant performances of gender and heterosexuality that threaten both the nuclear family and the heterosexual state. Drawing on a varied archive from the Moynihan Report to cultural panics about “kids having kids,” from ongoing representations of black women’s “failure” to breastfeed as a public health crisis to the racialized underpinnings of birth control, black feminist theory... (shrink)

La scommessa che anima il volume a c. di Sara Guindani e Alexis Nuselovici, come esplicitato nella prefazione, è la ricezione critica di un’eredità o – se così si può parafrasare – la messa in opera di un lascito. Notoriamente, “messa in opera” è espressione atta a evocare reminiscenze heideggeriane. Tuttavia, il più delle volte non si tiene in conto che Heidegger rende con “essere in lavorazione” – dunque in corso d’opera – l’ἐνέργεια aristotelica; v. il § 26 g (...) dei suoi Concetti fondamentali... (shrink)

In lieu of an abstract, here is a brief excerpt of the content:Reviewed by:Social Justice and Subsidiarity: Luigi Taparelli and the Origins of Modern Catholic Social Thought by Thomas C. BehrPatrick Auer JonesSocial Justice and Subsidiarity: Luigi Taparelli and the Origins of Modern Catholic Social Thought by Thomas C. Behr (Washington, DC: Catholic University of America Press, 2019), ix + 259 pp.The status of Leo XIII's Rerum Novarum as the origin point of what has come to be called Catholic Social (...) Teaching (CST), or Catholic social doctrine, has been reinforced on the magisterial level by the commemorations of the encyclical by Pius XI, Paul VI, and John Paul II. It should be noted, then, that the tradition of CST is comparatively recent. Indeed, it is nearly coextensive with the twentieth-century. Nevertheless, this short tradition already calls for a ressourcement. As Russell Hittinger has pointed out, reflections on CST often move swiftly to the particulars of social issues without an adequate grasp even of its basic concepts: subsidiarity, solidarity, the common good, and the dignity of the person. Further, historical [End Page 1101] developments have had dramatic impact upon the ways in which these principles have been received and developed in the course of this young tradition.In his book Social Justice and Subsidiarity: Luigi Taparelli and the Origins of Modern Catholic Social Thought, Thomas C. Behr provides a major contribution to just such a ressourcement. He does this by presenting an introduction to the thought of the Jesuit scholar whose revival of Thomistic thought in a modern register formed the basis for Leonine social teaching. As Behr explains, Taparelli has remained a somewhat hidden figure in accounts of the genesis and development of CST. He goes unmentioned in the major social encyclicals of Leo and Pius, despite the fact that Leo himself was Taparelli's student. Because of his rhetorically and philosophically potent critique of Enlightenment thought and its effect on mid-nineteenth-century Europe, available to a popular audience through his frequent contributions to the Jesuit periodical La Civiltà Cattolica, Taparelli's name carried baggage for a Church that sought to move beyond the posture of reaction to liberal political orders.However, as Behr shows in the introduction, Taparelli hardly rejected the methods and insights of modern political thought tout court. Behr describes Taparelli's system as a "realist social science." This terminology speaks to the promise which Taparelli found in the sociological analysis of Montesquieu in particular. Though Taparelli judged that Montesquieu held a questionable preference for a republican political form, he greatly admired Montesquieu's ability to, as Behr puts it, "bring political theory into relationship with social theory and historical contingency" (8). Though Taparelli was not familiar with the work of Alexis De Tocqueville, Behr also notes the resonances between Taparelli's work and Tocqueville's political sociology and defense of "intermediary institutions." Yet Taparelli makes up for what the sociological approaches of Montesquieu and Tocqueville lack in the way of natural, teleological principles of politics. Behr alerts the reader from the very beginning of his work that, in approaching Taparelli, he will not find a simple recapitulation of Thomas, but rather a creative approach to political thought which aims to set what is worthy in the modern empirical methodologies on firmer foundations through the recovery of Thomistic-Aristotelian principles.In chapter 1, "Taparelli and the Age of Ideology," Behr situates Taparelli within the political conflicts of the early nineteenth century. Behr sets the scene for Taparelli's renovated Scholasticism by explaining the opposition between Catholic traditionalism (represented especially by Joseph De Maistre and Donoso Cortés) and Catholic liberalism (represented especially by Henri Dominique Lacordaire and his more radical associate Felicité de Lammenais). While the Catholic liberals aimed to convince both [End Page 1102] the ecclesiastical hierarchy and the anticlerical, postrevolutionary governments of Europe that Christianity upheld liberal and republican ideals, the traditionalists argued that Europe's moral and political derangement was the result of a rejection of the norms of tradition—especially of papal and monarchical authority. Remarkably, Taparelli entered neither of these camps. In the opening chapter, Behr stimulates the contemporary reader's interest by showing how Taparelli responded to a crisis of ideologies—progressive and... (shrink)

The field of neuroimaging has reached a watershed. Brain imaging research has been the source of many advances in cognitive neuroscience and cognitive science over the last decade, but recent critiques and emerging trends are raising foundational issues of methodology, measurement, and theory. Indeed, concerns over interpretation of brain maps have created serious controversies in social neuroscience, and, more important, point to a larger set of issues that lie at the heart of the entire brain mapping enterprise. In this volume, (...) leading scholars -- neuroimagers and philosophers of mind -- reexamine these central issues and explore current controversies that have arisen in cognitive science, cognitive neuroscience, computer science, and signal processing. The contributors address both statistical and dynamical analysis and modeling of neuroimaging data and interpretation, discussing localization, modularity, and neuroimagers' tacit assumptions about how these two phenomena are related; controversies over correlation of fMRI data and social attributions ; and the standard inferential design approach in neuroimaging. Finally, the contributors take a more philosophical perspective, considering the nature of measurement in brain imaging, and offer a framework for novel neuroimaging data structures. Contributors: William Bechtel, Bharat Biswal, Matthew Brett, Martin Bunzl, Max Coltheart, Karl J. Friston, Joy J. Geng, Clark Glymour, Kalanit Grill-Spector, Stephen José Hanson, Trevor Harley, Gilbert Harman, James V. Haxby, Rik N. Henson, Nancy Kanwisher, Colin Klein, Richard Loosemore, Sébastien Meriaux, Chris Mole, Jeanette A. Mumford, Russell A. Poldrack, Jean-Baptiste Poline, Richard C. Richardson, Alexis Roche, Adina L. Roskies, Pia Rotshtein, Rebecca Saxe, Philipp Sterzer, Bertrand Thirion, Edward Vul The hardcover edition does not include a dust jacket. (shrink)

The pioneering anthology Home Girls features writings by Black feminist and lesbian activists on topics both provocative and profound. Since its initial publication in 1983, it has become an essential text on Black women's lives and writings. This edition features an updated list of contributor biographies and an all-new preface that provides a fresh assessment of how Black women's lives have changed-or not-since the book was first published. Contributors are Tania Abdulahad, Donna Allegra, Barbara A. Banks, Becky Birtha, Julie Carter, (...) Cenen, Cheryl Clarke, Michelle Cliff, Michelle T. Clinton, Willie M. Coleman, Toi Derricotte, Alexis De Veaux, Jewelle L. Gomez, Akasha (Gloria) Hull, Patricia Jones, June Jordan, Audre Lorde, Raymina Y. Mays, Deidre McCalla, Chirlane McCray, Pat Parker, Linda C. Powell, Bernice Johnson Reagon, Spring Redd, Gwendolyn Rogers, Kate Rushin, Ann Allen Shockley, Barbara Smith, Beverly Smith, Shirley O. Steele, Luisah Teish, Jameelah Waheed, Alice Walker, and Renita Weems. (shrink)

Nel 2004, in occasione del secondo bicentenario della morte di Kant, i cartesiani tornarono nelle fila dell'interpretazione che Ferdinand Alquié aveva opposto a quella di Alexis Philolenko. È possibile indagare su “Descartes est en Kant” per il fatto che il filosofo di Konisberg, come Cartesio prima di lui, poneva l'essere al di là della conoscenza. Certamente il percorso seguito fu un altro: Kant lo fece ponendo la condizione dei limiti della conoscenza; Cartesio affermando il carattere incomprensibile dell'infinito. Inutile, tuttavia, (...) cercare citazioni da Cartesio in Kant Werke, ed è impossibile risalire a tesi o concetti di scrittura cartesiana che possano essere identificati come tali. Così, i cartesiani, nel 2004, cercavano ciò che c'è in “Descartes est en Kant” al di là del confronto tra dottrine isolate, poiché i testi non consentono di stabilire affiliazioni dirette (come volevano i neokantiani): l'affiliazione di Cartesio a Kant trova nella co-appartenenza dei due filosofi allo stesso orizzonte di problemi. Sulla scia di Alquié, l'obiettivo dei cartesiani era »finalement, de reconnaître dans quelle mesure Kant renouvelle le moment cartésien, en sorte que, lorsque Kant pense, Descartes s'avance encore, caché. Caché en Kant, agissant encore sous la figure de Kant». (shrink)

Academic dishonesty has serious consequences for human lives, social values, and economy. The main aim of the study was to explore a model of relations between personal and cultural variables and academic dishonesty. The participants in the study were N = 2,586 individuals from nine countries (Pakistan, Israel, Italy, India, the USA, Peru, Romania, Ghana, and Poland). The authors administered the Academic Dishonesty Scale to measure academic dishonesty, the Kessler Psychological Distress Scale to measure distress, the Almost Perfect Scale – (...) Revised to measure perfectionism, the Brief Self-Control Scale to measure self-control, and the Singelis Scale to measure independent self-construal. The results showed that the theoretical model was well fitted to the dataset in six countries: Pakistan, the United States, Romania, Ghana, Israel, and Poland. However, it was not well fitted in Italy, India, and Peru. Our results also showed that perfectionism significantly predicted academic dishonesty, but not in all countries. Self-control significantly predicted cheating, falsification, and plagiarism in the USA. Moreover, we found that distress was related to cheating o0nly in Ghana. Finally, independent self-construal predicted academic dishonesty. Our findings provide a cross-cultural contribution to the debate on academic dishonesty by highlighting its significant predictors and may inform interventions aimed at eliminating it. Our results can be used in preventing and curbing academic dishonesty. Knowledge on cross-cultural differences can be useful in international education for example, as an indicator accepting or relaxing attitude toward academic dishonesty in students from different countries. (shrink)